|  | Le Parthénon 11 : la frise dorique 2 
  
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    Page 19 - ATHÈNES : l'Acropole 16/58 - 
    
    
    Le Parthénon 11/41 : Les métopes de la 
    frise dorique 2/3, côté sud | 
    
     P20
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    | Les 
    métopes de la frise dorique du Parthénon sont
    sculptées en 
    haut-relief (c'est-à-dire qu'elles ne se détachent
    pas complètement du support comme dans la ronde bosse) sur des plaques de marbre larges
    de 1m25 et hautes de 1m20, elles ont une épaisseur de 35 cm environ et elles comportent
    en général deux figures. Toutes les métopes de la 
    face sud 
    retracent le combat entre les 
    Lapithes et les 
    centaures
 Les
    
    Lapithes étaient un peuple légendaire de
    Thessalie; au mariage de leur roi Pirithoüs, ils entrèrent en conflit avec les
    Centaures, qui ivres, voulaient faire violence à la mariée et aux femmes Lapithes. Les Lapithes, aidés
    de Thésée, vainquirent les Centaures.
    
    Héraklès
    élimina définitivement ces êtres fabuleux (les
      Centaures) mi-hommes, mi-chevaux, mais il perdit la vie en revêtant la tunique
    empoisonnée du centaure Nessus.
 Ci-dessous, la dixième métope* de la frise sud, elle se 
    trouve au musée du Louvre. 
    
    
    Voir la page du musée de 
    l'Acropole
 * Envoyé par Fauvel 
    au comte de Choiseul-Gouffier pendant les troubles révolutionnaires, ce 
    haut-relief de marbre a été intercepté par les Anglais, puis vendu aux 
    enchères publiques à Londres. Il fut acquis par Lord Thomas Bruce Elgin, 
    comte de Kincardine, pour enrichir sa propre collection de marbres, mais 
    celui-ci l'offrit à son premier propriétaire. |  
 La 
métope du musée du Louvre (la dixième de la frise sud)
 
  
    | D'un geste vigoureux qui fait céder l'agrafe de son vêtement, la jeune femme 
    lapithe tente de se dégager de l'étreinte du centaure. La tête de ce dernier 
    a disparu après 1674, et son bras droit est en partie conservé au musée de 
    l'Acropole à Athènes. Le sculpteur a joué du contraste entre la bestialité 
    du corps du centaure, parcouru de veines saillantes, et la rigidité d'un 
    drapé dévoilant la nudité féminine et formant un écrin aux duellistes. La 
    sobriété des effets renforce l'intensité dramatique du moment représenté. Marbre du Pentélique 
    - H. : 1,35 m. ; L. : 1,41 m - Entre 447 et 440 av. J.-C. - Ancienne 
    collection Choiseul-Gouffier. Achat Louvre, 1818
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