NOTES sur le passage concernant l'Arche d'Alliance

[39] Pour l’aquarelle de Mérimée et une relation de tout ce qui arriva à la mosaïque entre les années 1841 et 1848, cf.. P. Meyvaert, “Maximilien Théodore Chrétin and the Apse Mosaic at Germigny-des-Prés” GBA, CXXXVII (2001), 203-220. Les documents d’archives à Paris et Orléans ont une importance cruciale pour interpréter les trois dessins qui survivent de 1841.

[40] Ce fut Vergnaud-Romagnési qui chargea Chrétin de faire un dessin (ibid. 212) Revel-Neher, L’Arche d’Alliance, 187, et plus à fond en “Antiquus populus”, 59-60, interprète ce trait comme représentant la verge fleurie d’Aaron.

[41] Poilpré, “Le décor”, 285, 287.

[42] Herbert Kessler convient que plusieurs texte de l’Opus Caroli semblent supporter cette interprétation.

[43] Opus Caroli I, 1 (MGH Concilia, II Suppp. I, 113, lignes 24-25 : “si iam venit, quod perfectum est, iam evacuatum est, quod ex parte est.”

[44] Ibid. I.19(ibid. 193, lignes 9-29).

[45] Ibid. I.15(ibid. 169, lignes 12-14).

[46] Bloch “Das Apsismosaik” 255 souligne la position unique que l’Arche occupe dans l’Opus Caroli : “In vier Kapiteln gehen die Libri Carolini auf diese Argumentation ein, wobei gerade die Ausnahmestellung der Bundeslade Herausgearbeitet wird ; sie allein sei in ihrer Form von Gott und der Heiligen Geist inspiriert, im Gegensatz zu allen anderen Kunstwerken als manufactae imagines”.

[47] J. Hubert, “Germigny-des-Prés” CAF, Orléans (1930)[1931], 552, pensait qu’aux jours de Théodullfe l’autel se trouvait au centre de l’église et n’avait été déplacé dans l’abside qu’au IXe siècle, après sa mort. Mais le texte de la liste de Fleury (cf supra n. 10) ne laissse aucn doute sur le fait que Théodulf lui-même avait fait placer la mosaïque au dessus de l’autel.