NOTES sur le passage "intention des chercheurs"

[4] Une bonne bibliographie sur Germigny-des-Prés (jusqu’en 1990) est donnnée par X. Barral i Altet dans le Recueil général des mosaïques de la Gaule, Xe supplément à Gallia, II/4 (Paris, 1991), 127-132. Il a cependant omis de signaler l’artice de Soyer de 1923 (voir ci-dessous n. 59). Les études les plus importantes, récement parues, sont celles de O. Poilpré, “Le décor de l’oratoire de Germigny-des-Prés : l’authentique et le restauré”, Cahiers de civilisation médiévale, XLI (1998), 281-297, et E. Revel-Neher, “Antiquus populus, novus populus : Jerusalem and the People of God in the Germigny-des-Prés Carolingian Mosaic”. Jewish Art, XXIII-XXIV (1997/98), 54-66.

[5] En ce qui concerne l’exploration des œuvres d’art de Rome, nous devons une dette spéciale de gratitude à Herbert Kessler qui est venu passer un trimestre à Harvard pendant que ce article était en préparation. Sa connaissance de l’ancienne Rome est inégalable, comme en témoigne son récent volume, Rome 1300 (New Haven, 2000), publié en collaboration avec son épouse, Johanna Zacharias. Nous savions que Théodulf avait passé plusieurs mois à Rome avant de construire l’église de Germigny-des-Prés, et nous ne pouvions pas avoir un guide plus perspicace pour nous aider à explorer l’influence possible de l’une ou l’autre des anciennes églises de Rome sur Théodulf et son oratoire de Germigny.

[6] Cf. Opus Caroli regis contra synodum (Libri Carolini), éd. A. Freeman avec P. Meyvaert, MGH Concilia, II Supplementum, I (Hannover, 1998) Cité désormais comme Opus Caroli.